Je m’appelle Elisa j’habite à la montagne. Depuis quelques temps, il y a beaucoup d’avalanches. Des spécialistes dont je ne me rappelle plus le nom font des recherches pour savoir ce qui produit tant d’avalanches. J’habite à la montagne parce que mes parents sont bergers. Quand je suis à l’école je suis souvent énervée contre les autres, et, avec mes amies Lisa et Alice nous entendons au loin des cailloux rouler. Ce qui est bizarre c’est que quand je me calme on n’entend plus de pierres tomber.

Un samedi matin pour la première fois j’étais calme, pas d’avalanche ça faisait bizarre. Je me suis vite préparée pour aller sonner chez Lisa. Avant que je n’ai pu dire ouf elle m’annonça qu’il n’y avait pas d’avalanche, comme j’avais constaté en me levant. En courant nous sommes allées sonner chez Alice, elle a dit la même chose. On est très contentes car on est près du sommet de la montagne. Cet après-midi nous nous sommes donné rendez-vous pour le lendemain après-midi. Je suis rentrée chez moi. J’avais hâte d’être demain après-midi pour aller voir les filles.

Le lendemain je suis allée au rendez-vous qui est prévu, et, en montant au sommet on a croisé Sintia une fille qu’on déteste, j’ai commencé à m’énerver et des cailloux se sont mis à rouler par terre. Je me suis calmée, et pour ne pas m’énerver une deuxième fois, je suis rentrée chez moi et je me suis assise sur le canapé. Tout d’un coup ça a sonné à la porte, je suis allée ouvrir c’était Lisa et Alice. Elles m’ont demandé si j’allais bien, je leur ai dit oui.

Le lundi suivant, à l’école, je me suis encore énervée contre Sintia et nous avons entendu des gros cailloux rouler sur la montagne, je me suis calmée tout s’est arrêté. Le vendredi d’après, c’est le dernier jour avant les vacances de pâques. Je me dépêche de rentrer chez moi. J’habite à 38 min de marche du village, qui est à 1h15 du sommet. J’arrive chez moi je m’assois sur le canapé et je me demande si ce n’est pas moi qui crée les avalanches. Je mets vite un pull je laisse un mot sur la table pour expliquer à mes parents que je

vais au sommet de la montagne. Je vais au sommet et j’essaye de m’énerver, j’y arrive en pensant à Sintia, je m’arrête vite tout redevient calme. Je réessaye 4 fois… « Oui c’est moi qui provoque les avalanches ».

Je rentre chez moi pour tout dire à mes parents. Forcément, ils ne me croient pas. Alors je les emmène au sommet de la montagne pour leur montrer. Au bout de 10 fois mes parents finissent par me croire. Le lendemain matin nous allons voir les spécialistes pour leur dire que c’est moi qui produit les avalanches. Ils éclatent de rire

Mais ils finissent par nous croire quand on les emmène au sommet de la montagne.

Le lendemain je passe à la télé avec les spécialistes qui expliquent que je produis des avalanches quand je suis énervée. Le soir je suis tellement humilié d’être une avalanche que je commence à pleurer dans mon lit. Quand mes parents passent pour me dire bonsoir, ils voient que je pleure. Ils me consolent je me sens mieux, de toute façon demain j’ai rendez-vous avec les spécialistes, je suis en train de passer de sales vacances.

Aujourd’hui je suis réveillée par la sonnerie de l’entrée je me m’habille vite et je descends. Les spécialistes sont là. Ma mère a tous raconté l’histoire d’hier aux spécialistes. Ils promettent de trouver une solution dans les jours à venir.

Les spécialistes sonnent 2 jours après. Je stresse à l’idée de la solution qu’ils ont trouvé.

Je suis soulagée quand ils disent que la solution est d’habiter ailleurs qu’à la montagne. Mes parents ont une idée de génie, notre maison de vacances qui se trouve en ville.

Après 1 semaine, à faire les cartons nous déménageons. J’ai très mal au cœur de quitter mes copines, mais mes parents me promettent qu’aux prochaines vacances elles passeront une semaine avec nous. Nous nous sommes bien installés et maintenant je trouve ça génial d’avoir quitté la montagne.