Le mardi 10 avril 2039, un soir, Justin, le chanteur célèbre fait un concert à Bellecour.
Le lendemain, un monsieur l’a trouvé mort.
Ce monsieur appelle l’inspecteur Ricami. L’inspecteur va trouver qui a tué le chanteur. Il demande au monsieur :
« Est-ce que vous avez vu le meurtrier ?
-Non. »
L’inspecteur est à Bellecour, et il commence l’enquête avec ses collègues : la police judiciaire.
Les policiers mettent leurs survêtements blancs pour faire l’enquête.
Ils vont sur la scène du crime.
Ils prennent plusieurs photos et ils cherchent des indices autour du cadavre.
L’enquêteur et ses collègues se rejoignent au milieu de la scène du crime pour examiner les indices qu’ils ont trouvé.
Un groupe de policiers a trouvé un couteau plein de sang.
L’enquêteur Ricami va au laboratoire de Lyon.
Il trouve sur le couteau des traces de doigts. Ce sont celles de madame Stefanie.
Il sait qui a tué le chanteur célèbre.
L’inspecteur dit :
« Madame Stefanie »
L’inspecteur Ricami est chez madame Stefanie, il va sur son ordinateur et il voit un dossier de Justin, le chanteur célèbre, sur lequel c’est marqué :
« Je vais tuer Justin le chanteur célèbre. »
L’inspecteur Ricami prend le dossier et l’emmène au chef de la police.
Le chef de la police et l’inspecteur Ricami regardent le dossier.
Voyant que madame Stefanie voulait tuer Justin, le chef de la police appelle toute la police pour la mettre en prison.
Ils vont chez elle et l’emmènent au commissariat pour la mettre en garde à vue.
L’inspecteur Ricami et le chef de la police écoutent ce que dit la femme :
« Je détestais ce chanteur célèbre parce que toutes les filles l’aimaient tellement que je ne pouvais pas écouter ses chansons tranquillement ! Les filles criaient, je ne pouvais pas écouter, c’est pour ça que j’ai tué le chanteur célèbre ! »
La police dit :
« Ça ne servait à rien de tuer le chanteur célèbre madame Stefanie. »
Stefanie dit :
« Je savais déjà que je ne devais pas tuer Justin, le chanteur célèbre, mais je me suis aperçue trop tard que je ne devais pas le faire. Je regrette, alors mettez moi en prison. »
La police dit :
« Très bien. Je vous mets en prison madame Stefanie. »