Ma tête à moi par Blanche, Bruno et Maxime

Un jour Janin remarqua qu’il était le seul à avoir les cheveux blonds et le teint pâle dans sa famille.

Une nuit il fait le cauchemar d’être adopté.

Le lendemain matin il a de la fièvre. Il fait une grosse bêtise. Il fugue au magasin pour acheter du colorant noir pour cheveux.

A la fin, il découvre que son grand-père avait lui aussi les cheveux blonds.

Alors il essaie d’enlever le colorant mais il n’y arrive pas. Donc il se rase les cheveux.

153 jours en hiver analysé par Carla, Lina, Nils S. et Hippolyte

Galshan, une enfant de 12 ans, habite avec ses parents dans une pièce à Ikoituruu, une ville de Mongolie. Sa mère, Daala est enceinte d’une petite fille. Dans 5 mois le bébé naîtra. Elle devra se reposer en restant au lit jusqu’à la naissance du bébé. Pendant ce temps, Galshan devra rejoindre son grand-père, Baytar, à Tsagüng, dans les Steppe Mongole. Les 20 premiers jours elle apprendra à chevaucher Gris-de-Fer, et découvrira le plateau de brebis. Tous les soirs, elle cochera dans sans petit carnet une case pour dire que la journée est finie et lira Le vieil homme et la mer à Baytar.

Ils recevront trois visites d’Hyblang Dshjuguwaa, le proviseur du district scolaire. Vers le 27ème jour le Djout arrivera, la bête et les loups aussi…

153 jours en hiver par Carla, Lina, Nils S et Hippolyte

Chemin du livre par Carla, Lina, Nils S. et Hippolyte

 

Voici des titres de chapitres que nous avons imaginés:

Chapitre 1 : Le médecin d’Ikhoiturüü

Chapitre 2 : La décision des parents

Chapitre 3 : Le départ

Chapitre 4 : Le voyage

Chapitre 5 : La rencontre

Chapitre 6 : La première chevauchée

Chapitre 7 : Le rituel

Chapitre 8 : La découverte

Chapitre 9 : L’apprentissage

Chapitre 10 : La première visite

Chapitre 11 : Le seigneur du ciel

Chapitre 12 : Le seigneur Khar

Chapitre 13 : La capture

Chapitre 14 : Kudaj

Chapitre 15 : La deuxième visite

Chapitre 16 : Le premier vol

Chapitre 17 : La liberté

Chapitre 18 : La troisième visite

Chapitre 19 : Le Djout

Chapitre 20 : La mort blanche

Chapitre 21 : La perte

Chapitre 22 : La suite

Chapitre 23 : L’attaque

Chapitre 24 : La pierre de loup

Chapitre 25 : La disparition

Chapitre 26 : La recherche

Chapitre 27 : La bête

Chapitre 28 : L’agonisassions

Chapitre 29 : La guérison

Chapitre 30 : Gris de fer

Chapitre 31 : Le cadeau

Chapitre 32 : Les aux revoir

Chapitre 33 : Le retour

Chapitre 34 : Bumbaj

153 jours en hiver analysé par Juliette, Nour El Islam, Malo et Maxime

Bonjour chers lecteurs, nous allons vous résumer 153 jours en hiver.
Galshan habite avec ses parents à Ikhoiturüü. Mais un jour sa mère Daala tombe enceinte. En attendant que le bébé naisse Galshan doit partir à Tsagüng dans les steppes mongoles avec son grand-père qu’elle déteste et qu’elle traite de vieux fou.
Attendez-vous à des aventures extraordinaires beaucoup de froid beaucoup de peur et beaucoup de courses de chevaux!

153 jours en hiver par Juliette, Nour EL Islam, Malo et Maxime

Chemin du livre par Juliette, Nour El Islam, Malo et Maxime

 

153 jours en hiver analysé par Audrey, Galine, Vadim et Meridjon

Bonjour ou bonsoir, nous allons vous présenter une histoire d’aventure avec une fille, nommée Galshan et avec son grand-père.

Cette histoire vous emportera sur les ailes de l’aigle Kudaj dans les steppes mongoles avec l’effroyable Djout de l’hiver qu’affrontera Galshan et son grand-père Baytar.

Galshan lui lit tous les soirs « Le vieil homme et le mer ».

Si Galshan doit partir là-bas c’est à cause de Bumbaj sa petite sœur qui fait souffrir le ventre de sa mère.

Après son séjour de 5 mois en Mongolie elle rentre chez elle et découvre pour la première fois Bumdaj sa petite sœur.

153 jours en hiver par Audrey, Galine, Vadim et Meridjon

Chemin du livre par Audrey, Galine, Vadim et Meridjon

Portrait soleil de Galshan par Galine et AudreyVoici des questions que nous allons vous proposer, pour se qui ont lu le livre vous pourrez y répondre dans les commentaires nous allons maintenant vous les présentez:

n°1

Quel est le livre que Galshan lit à  son grand-père?

n°2

Quel est le rôle du médecin dans « 153 jours en hiver »?

n°3

Quelle est la couleur de Gris-de-Fer?

n°4

Combien de jours Galshan met-elle pour dresser Kudaj?

n°5

Quelle est la maladie de Baytar?

n°6

Pourquoi Galshan lit « le vieil homme et la mer » à Baytar?

n°7

Qui est la bête?

n°8

Comment les moutons sont-ils morts?

n°9

Pourquoi Baytar ne sait pas lire?

n°10

Combien de jour exactement Galshan reste à Tsägung?

Nous vous proposons une table des matières:

Chapitre 1 : L’arrivée du docteur

Chapitre 2 : Le retour de Ryham

Chapitre 3 : Le départ !

Chapitre 4 : Le long voyage

Chapitre 5 : Le premier jour

Chapitre 6 : Gris-de-fer

Chapitre 7 : Galshan bat Baytar

Chapitre 8 : Le vieux disparaissait, le rapace apparaissait

Chapitre 9 : Discussion avec le rapace

Chapitre 10 : Vingt-septième jour

Chapitre 11 : Un beau temps pour voler

Chapitre 12 : Le vieil homme et la mer

Chapitre 13 : Seigneur Kudaj

Chapitre 14 : Ça passe ou ça casse…

Chapitre 15 : L’Ural

Chapitre 16 : Le premier vol de Kudaj

Chapitre 17 : Prêt pour la chasse

Chapitre 18 : Le soixante et onzième jour

Chapitre 19 : La mort blanche

Chapitre 20 : Les ravages du Djout

Chapitre 21 : La nourriture manquante

Chapitre 22 : La mort des brebis

Chapitre 23 : La pierre à loup

Chapitre 24 : Baytar va chasser les loups

Chapitre 25 : Kudaj est attaqué

Chapitre 26 : Du sang sur des rochers

Chapitre 27 : Le combat contre la bête

Chapitre 28 : Baytar gravement bléssé

Chapitre 29 : La vie ou la mort

Chapitre 30 : Des bruits de faim

Chapitre 31 : Le bébé ne tarde plus

Chapitre 32 : La guérison

Chapitre 33 : Le retour

Chapitre 34 : La rencontre avec Bumdaj

153 jours en hiver analysé par Irène, Blanche, Paul et Bruno

153 jours en hiver par Irène, Blanche, Paul et Bruno

Chemin du livre par Irène, Blanche, Paul et Bruno

Portrait soleil de Galshan par Irène

Galshan, une enfant de la ville d’Ikhoituruu qui habite dans le quartier du district de Nalaikh, part vivre 5 mois dans les steppes mongoles chez son grand-père. En effet, sa mère est enceinte et il n’y a pas assez de place pour elle .
Au départ Galshan ne veut pas aller chez son grand-père car elle pense que c’est un vieux fou. Elle pense s’ennuyer car l’endroit est désert.
Mais elle vit une aventure sauvage et palpitante dans le froid et la peur.

Autonome et responsable, Galshan doit prendre des décisions et affronter sa peur.
Elle se familiarise avec un cheval qu’elle nomme « Gris De Fer » et adopte un aigle nommé Kudaj.
Elle devra aussi retrouver son grand-père et le soigner tout en affrontant « La Bête » après la tempête du Djout.
Galshan pleine de gentillesse lit «Le vieil homme et la mer» à son grand père.
Nous vous invitons à regarder notre flèche du temps réalisée par Paul,Irène,blanche et Bruno.

Tables des matières du livre

1 : L’avertissement du médecin

2 : 153 jours avec un vieux fou !?

3 : EN ROUTE !

4 : Enfin arrivés…

5 : En avant gris de fer !

6 : Yeehaaa !!!

7 : La défaite de Baytar

8 : J’ai les yeux d’un aigle

9 : Plus que 130 jours !!

10 : « Le changement c’est maintenant ! »

11 : La neige arrive…

12 : Maitre Kaar est là

13 : La mort blanche

14 : Seigneur Kudaj

15 : Pas content !

16 : La fierté

17 : Hiiik !!

18 : Soixante et onzieme jour…

19 : Le Davkhar Djout, nous allons souffrir…

20 : Merci Kudaj

21 : Le quatre-vingt-quatrième jour

22 : Attas !! Attas !!

23 : Mourir ?

24 : Les brebis

25 : Je serai de retour bien avant le matin.

26 : Qui a fait ça ?

27 : La bête

28 : Elle va revenir

29 : Baytar entre le vie et la mort

30 : Ce n’était que les chevaux

31 : Merci…

32 : Baytar ouvre les yeux

33 : Revoilà le beau temps

34 : Bumbaj, ma petite sœur

Nous allons maintenant vous poser quelques questions sur le livre »153 jours en hiver. »

Comment s’appelle le grand-père de Galshan?

Quel âge a Galshan?

Comment s’appelle l’aigle de Galshan?

Comment s’appelle la sœur de Galshan?

Quel est le livre que Galshan lit à son grand-père?

Dans quel pays habite le grand père de Galshan?

Combien de temps de temps dure « le djout »?

A quoi ressemble « La Bête »?

Quels sont les jours ou Hylbang  vient voir Galshan?

 10°

Quel jour Galshan fait-elle voler son aigle?

153 jours en hiver analysé par Agatha, Amel, Nils C. et Sofiane

153 jours en hiver par Agatha, Amel, Nils C. et Sofiane

Chemin du livre par Agatha, Amel, Nils C. et Sofiane

Galshan habite à Ikhoiturüü avec sa mère et son père.

Mais un jour sa mère est tombée enceinte alors le médecin est venu et Galshan a dû partir chez son grand-père qu’elle n’aime pas, pour laisser sa mère se reposer.

Elle le traite de vieux fou.

Dans les steppes mongoles, elle va avoir une aventure extraordinaire avec de la peur, dont une grande partie est le Davkhar Djout (la mort blanche).

Elle commencera à aimer Baytar, elle le sauvera d’une mort sûre.Portrait soleil de Galshan par Nils C. et Sofiane

 

Table des matières et titre des chapitres

Chapitre 1 : Une vie à peu près normale

Chapitre 2 : Les chuchotements

Chapitre  3 : Le départ

Chapitre 4 : L’arrivée à Tsagüng

Chapitre 5 : L’apprentissage

Chapitre 6 : La découverte du paysage

Chapitre 7 : L’aigle

Chapitre 8 : Le travail de Baytar

Chapitre 9 : L’aventure commence

Chapitre 10 : La  première lecture

Chapitre 11 : Le rapace

Chapitre 12 : La première tentative de capture

Chapitre 13 : L’arrivée du froid

Chapitre 14 : Le vieil homme et la mer

Chapitre 15 : Le troupeau de chevaux

Chapitre 16 : Seigneur Kudaj

Chapitre 17 : Kudaj vole en liberté

Chapitre 18 : La prévention du Djout

Chapitre 19 : L’arrivée du Djout

Chapitre 20 : Les loups

Chapitre 21 : La catastrophe

Chapitre 22 : La bête

Chapitre 23 : Un brouillard ténébreux

Chapitre 24 : Les brebis éventrées

Chapitre 25 : Baytar blessé

Chapitre 26 : Plus qu’une cinquantaine

Chapitre 29 : Le monde de Baytar

Chapitre 30 : La vue de la bête

Chapitre 31 : la chasse de Kudaj

Chapitre 32 : Baytar va mieux

Chapitre 33 : Baytar peut être de retour au tribunal

Chapitre 34 : Bumbaj

Questions sur le livre

question n°1: Comment s’appelle la sœur de Galshan?

question n°2: Quand-est ce que le Davkar Djout commence?

question n°3: Quel jour arrivera l’inspecteur du district?

question n°4: Comment s’appelle l’inspecteur du district?

question n°5: Comment s’appelle le cheval de Galshan?

question n°6: Qui sont les parents de Galshan?

question n°7: Pourquoi Galshan doit passer l’hiver chez son grand-père?

question n°8: Combien de jours Galshan doit passer à Tsagung?

question n°9: Comment s’appelle la ville où vit Galshan?

question n°10: Comment s’appellent les deux chiens de Baytar?

 

Attention à la voiture par Meridjon

Le 16 janvier 2015, un jeune enfant qui s’appelle John et qui a 8 ans, veut partir au stade vers les 15 heures. 3 heures après, il doit rentrer chez lui.

Sur la route, il se fait renverser par une voiture. Il se casse la cheville et le conducteur s’enfuit, mais John n’est toujours pas mort.

Il appelle la police et dit :

«Allo la police ?! Un conducteur m’a renversé et cassé ma cheville. Le numéro de la plaque d’immatriculation est BX-960-AA.

-D’accord on arrive. »Meridjon

Quelques minutes plus tard, les policiers arrivent et ils trouvent John. Les policiers emmènent John à l’hôpital où il se fait soigner.

Les policiers trouvent la voiture, ils voient des traces de sang sur la vitre. Pendant l’accident, le conducteur roulait très vite et il s’est fait mal à la tête donc il s’est mis a saigner. Les policiers l’ont trouvé inconscient dans la voiture et l’ont emmené au commissariat.

L’assassin est en prison. La maman de John appelle la police: « Allo la police? Mon enfant est en retard, il n’est toujours pas arrivé ? »

Les policiers répondent : « Il est à l’hôpital mais il va bien. »

Soulagée, sa maman vient le récupérer.

Attention à la voiture par Meridjon

Le 16 janvier 2015, un jeune enfant qui s’appelle John et qui a 8 ans, veut partir au stade vers les 15 heures. 3 heures après, il doit rentrer chez lui.

Sur la route, il se fait renverser par une voiture. Il se casse la cheville et le conducteur s’enfuit, mais John n’est toujours pas mort.

Il appelle la police et dit :

«Allo la police ?! Un conducteur m’a renversé et cassé ma cheville. Le numéro de la plaque d’immatriculation est BX-960-AA.

-D’accord on arrive. »Meridjon

Quelques minutes plus tard, les policiers arrivent et ils trouvent John. Les policiers emmènent John à l’hôpital où il se fait soigner.

Les policiers trouvent la voiture, ils voient des traces de sang sur la vitre. Pendant l’accident, le conducteur roulait très vite et il s’est fait mal à la tête donc il s’est mis a saigner. Les policiers l’ont trouvé inconscient dans la voiture et l’ont emmené au commissariat.

L’assassin est en prison. La maman de John appelle la police: « Allo la police? Mon enfant est en retard, il n’est toujours pas arrivé ? »

Les policiers répondent : « Il est à l’hôpital mais il va bien. »

Soulagée, sa maman vient le récupérer.

Un cadavre dans le salon! Par Nour el islam

Le 15 avril en 2018, Rayan rentre à 20h00, il mange et il va se coucher. Le lendemain il trouve un cadavre mais il ne reconnaît pas la personne.

Heureusement que ses parents sont en vacances sinon ils auraient vu le cadavre et auraient cru que c’était lui qui l’avait tué. Ils s’imagineraient des choses bizarres mais bon, revenons à nos moutons.

Rayan trouve des empreintes qui mènent chez un voisin!

Il rentre par effraction chez les voisins pour vérifier s’il n’y a rien de suspect mais il trouve une chaussure qui est la même que celle de l’empreinte.

Tout à coup, le voisin le voit et dit : «Qu’est-ce-que tu fais chez nous ?»

Rayan répond: 

«J’ai oublié mon téléphone chez vous.»

Le voisin lui répond: «Mais comment tu as fait pour rentrer chez nous?»

« Je suis passé par la fenêtre, j’ai trouvé ça plus facile.

-Ok c’est bon. Tu as trouvé ton portable?

-Oui c’est bon je l’ai trouvé.»

Mais le voisin de Rayan n’a pas l’air d’avoir tué quelqu’un, donc Rayan va plutôt installer une caméra de surveillance.

Le lendemain, il prend son ordinateur lié à la caméra de surveillance et voit un homme avec un manteau sombre un peu bizarre. Il regarde ce qu’il fait.

L’homme vole la télévision,un portable et une tablette.

«Il faut que j’intervienne, se dit Rayan, je vais rentrer chez mon voisin par effraction comme l’autre jour.»

Tout à coup, l’assassin se tourne mais heureusement Rayan s’est caché ou sinon l’assassin aurait pu le tuer. Ouffffffff! Rayan voit l’assassin partir, il va voir s’il a laissé quelque chose.

Il rentre chez son voisin et trouve une feuille par terre. Il y avait écrit: «tu vas m’écouter ou sinon tu vas mourir»

-Très intéressant.

Il regarde un peu plus loin et il voit un autre papier où il y avait écrit:

«je vais venir chez toi pour poser des choses pour qu’il ne découvre pas que c’est moi. On doit garder ça entre nous ou sinon tu vas mourir.»

Quelqu’un a marqué «OK» Il faut que j’attrape mon voisin pour lui dire si il a écrit «OK» et le voleur pour savoir si il a écrit ce mot.

Le lendemain il trouve son voisin chez lui, il lui demande s’il a écrit ce mot bizarre.

Il me dit

«euuuuuh……non pourquoi ?»

«Parce que Rayane a trouvé ce mot là.»

«Je ne l’ai pas écrit ce mot.»

« Dîtes tout ou j’appelle la police.»

«OK je vais tout vous dire : un ami à moi me fait du chantage et il a commencé à envoyer des mots bizarres et un jour il est venu avec son Gang qui m’a obligé à écrire OK, c’est pour ça que je l’ai écrit»

«Vous savez où il habite?

– Oui à 11 rue cloche perce.

– Alors allons voir, je prends mes menottes et on y va.»

On le trouve tout seul. Alors on rentre par la porte de son jardin, on le voit regarder la télé alors on l’attaque.

«Ne bouge plus, les mains sur la tête ou je tire»

«OK OK je mets les mains sur la tête. »

Je lui mets les menottes et on part au poste de police. Il demande si ses amis ont été arrêtés. Il m’a dit qu’ils se sont fait arrêter hier soir parce qu’ils ont jeté des bouteilles en verre sur des gens.

Tout le monde est condamné à 10 ans de prison.Nour El Islam

Le scientifique m’a dit que le cadavre c’était le Gang qui l’a tué et puis emmené chez mon voisin. C’est bizarre mais nous continuons les recherches, merci d’avoir ramené l’homme au poste de police, merci au revoir.»

La reine Anita a disparu, par Lallie.

Comme tous les matins, François le facteur, devait passer devant toutes les maisons de l’avenue des Frères lumières. Pour se rendre au palais de la reine, il devait traverser un chemin avec plein de bosses. Mais, horreur, à l’entrée du palais, des gardes avaient été pendus. Il n’osa pas entrer dans le palais, mais son esprit lui disait d’entrer.

– Il y a quelqu’un? dit le facteur d’une voix tremblotante.

À l’intérieur les cuisiniers, les gouvernantes, les écuyers et les valets étaient morts. Alors il décida d’appeler l’enquêteur Walou qui arriva devant le palais en voiture avec 1 000 policiers. Walou interrogea François.

«Avez-vous assisté à la scène monsieur?

– Non, j’ai juste vu une voiture à l’entrée du palais, je me suis retourné et la voiture avait disparu.

– Avez-vous entendu des cris?

-Non.

– Walou regardez, j’ai trouvé un couteau, on pourra analyser les empreintes digitales.

– Quelle bonne idée Didier!

– Mais d’abord regardons dans le château.»

Dans le palais, il y avait des traces de pas, des casseroles étaient renversées et aussi des pots de peinture.

Huit heures après, ils étaient rentrés au commissariat.

Un des policiers regarda à qui étaient les empreintes.

«Regardez ce que j’ai trouvé, ce sont les empreintes digitales de madame Dymounnzou et madame Goudouer.

– Nous allons d’abord appeler madame Dymounnzou.»

– Je suis tombé sur sa messagerie!

– Maintenant, appelons madame Goudouer.

– Je suis aussi tombé sur sa messagerie.

– Je vais chercher sur l’ordinateur!

– Madame Dymounnzou habite 777 rue Diplique.

– Et madame Goudouer habite 666 rue Kibaca, qu’est que nous attendons allons-y.

– Sortez de cette maison vous êtes cerné car vous avez commis un crime.

– Bon d’accord je me rends.

– En prison et tout de suite.

– Maintenant, allons chercher madame Goudouer.

– Madame Goudouer sortez de votre maison, vous êtes cerné!

– Vous avez commis un crime.

– Non je ne sortirai pas de ma maison !

– Alors on va devoir défoncer la porte.»

On entendu un gros boum dans le village.

« Elles sont menottées?

– Oui les deux. Dit l’un des policiers.

– Maintenant allons au commissariat et demandons leur où est la reine.»

30 minutes après ils sont rentrés.

« Pourquoi avez-vous enlevé la reine Anita?

– Parce que mon père est son père donc je suis sa sœur.

– Et moi je suis sa cousine.

– Où est la reine?

– La reine et chez mon père à Barcelone.  

– Et pourquoi est-elle à Barcelone?

– Parce que mon père voulait voir Anita parce qu’il ne l’avait pas vu depuis 2 ans alors on l’a kidnappée.

– Et où habite votre père?

– Il habite 555 rue Tarmine.»

Ils montèrent dans le premier avion qui allait à Barcelone et hop!

1 heure après ils sont arrivés à Barcelone.

– Monsieur Goudouer pouvez-vous ouvrir la porte s’il vous plaît!

– Pourquoi ?

– Parce que vous avez enlevé la reine.

Ils l’emmènent au château et l’enferment dans le cachot.

J’ai perdu mon fils par Nils Siagian

Ce matin, Mme Fiorletta et son fils vont à la Part Dieu.

Au bout d’un moment, elle se rend compte qu’il a disparu.

Mme Fiorletta retourne vers le magasin de jouets, mais elle ne le trouve pas.

Elle demande au vendeur :

« Avez-vous vu mon enfant ?

– Oui il est parti avec un homme.

– Un homme ? Quel homme ? A quoi ressemble- t- il ?

– Je ne sais pas, il avait une capuche.

– Merci. »

Mme Fiorletta regarde en bas, elle voit l’enfant et un monsieur avec une capuche comme lui avait dit le vendeur.

Elle descend les escaliers à toute vitesse, le monsieur sort.

Elle sort à son tour, elle voit le monsieur rentrer dans une voiture, elle lui court après mais la voiture démarre.

Mme Fiorletta décide d’appeler l’inspecteur Maxime.

L’inspecteur Maxime dit :

« Que se passe-t-il ?

– On a kidnappé mon enfant.

– Ça s’est passé où et quand ?

– A la Part Dieu vers 10h30.

– Vous êtes toujours à la Part Dieu ?

– Oui.

– J’arrive.

– Merci. »

Quand l’inspecteur arrive, il dit :

«A quel endroit vous êtes-vous rendu compte qu’il avait disparu ?

– Vers le magasin de jouets. J’ai demandé au vendeur à quoi ressemblait l’homme, il m’a dit qu’il avait une capuche.

Une fois arrivé au magasin de jouets, Maxime voit un couteau.

Il pose une liste de questions au vendeur :

« De quelle couleur était sa veste ou son pull ?

– Il portait une veste bleue.

– Quand vous l’avez vu avec un couteau vous n’avez rien dit ?

– Il n’avait pas de couteau dans la main.

– Merci. »

Le policier dit à la dame :

« Nous allons aller au commissariat. »

Une fois au commissariat, il demande à Mme Fiorletta :

« Votre enfant a-t-il une adresse email ?

– Oui.

– Pouvez-vous marquer votre adresse et votre mot de passe ?

– Oui.

– Merci.»

Une fois la boîte email ouverte, il voit un message avec une tête de mort.

Maxime regarde ce qui est marqué, avant le texte il y a des photos.

Les photos indiquent toutes les actions du petit garçon.

C’est le message de quelqu’un qui s’appelait Arthur. Ils étaient meilleurs amis mais au bout d’un moment, ils se sont disputés.

Arthur lui a écrit: « je demanderai à mon père de te tuer mais pour te tuer il faudra qu’il te kidnappe donc je lui demanderai de t’espionner. »

Maxime dit à son chef :

« Il faut les mettre en prison. »

Maxime et ses coéquipiers débarquent chez Arthur.

Maxime met des menottes au papa d’Arthur.

Après ils vont dans la chambre du petit et voient Arthur avec un couteau dans la main pour tuer le fils de Mme Fiorletta, Maxime prend le couteau et met les menottes à Arthur.

Maxime les amène au commissariat.

J’ai perdu mon fils par Nils Siagian

Ce matin, Mme Fiorletta et son fils vont à la Part Dieu.

Au bout d’un moment, elle se rend compte qu’il a disparu.

Mme Fiorletta retourne vers le magasin de jouets, mais elle ne le trouve pas.

Elle demande au vendeur :

« Avez-vous vu mon enfant ?

– Oui il est parti avec un homme.

– Un homme ? Quel homme ? A quoi ressemble- t- il ?

– Je ne sais pas, il avait une capuche.

– Merci. »

Mme Fiorletta regarde en bas, elle voit l’enfant et un monsieur avec une capuche comme lui avait dit le vendeur.

Elle descend les escaliers à toute vitesse, le monsieur sort.

Elle sort à son tour, elle voit le monsieur rentrer dans une voiture, elle lui court après mais la voiture démarre.

Mme Fiorletta décide d’appeler l’inspecteur Maxime.

L’inspecteur Maxime dit :

« Que se passe-t-il ?

– On a kidnappé mon enfant.

– Ça s’est passé où et quand ?

– A la Part Dieu vers 10h30.

– Vous êtes toujours à la Part Dieu ?

– Oui.

– J’arrive.

– Merci. »

Quand l’inspecteur arrive, il dit :

«A quel endroit vous êtes-vous rendu compte qu’il avait disparu ?

– Vers le magasin de jouets. J’ai demandé au vendeur à quoi ressemblait l’homme, il m’a dit qu’il avait une capuche.

Une fois arrivé au magasin de jouets, Maxime voit un couteau.

Il pose une liste de questions au vendeur :

« De quelle couleur était sa veste ou son pull ?

– Il portait une veste bleue.

– Quand vous l’avez vu avec un couteau vous n’avez rien dit ?

– Il n’avait pas de couteau dans la main.

– Merci. »

Le policier dit à la dame :

« Nous allons aller au commissariat. »

Une fois au commissariat, il demande à Mme Fiorletta :

« Votre enfant a-t-il une adresse email ?

– Oui.

– Pouvez-vous marquer votre adresse et votre mot de passe ?

– Oui.

– Merci.»

Une fois la boîte email ouverte, il voit un message avec une tête de mort.

Maxime regarde ce qui est marqué, avant le texte il y a des photos.

Les photos indiquent toutes les actions du petit garçon.

C’est le message de quelqu’un qui s’appelait Arthur. Ils étaient meilleurs amis mais au bout d’un moment, ils se sont disputés.

Arthur lui a écrit: « je demanderai à mon père de te tuer mais pour te tuer il faudra qu’il te kidnappe donc je lui demanderai de t’espionner. »

Maxime dit à son chef :

« Il faut les mettre en prison. »

Maxime et ses coéquipiers débarquent chez Arthur.

Maxime met des menottes au papa d’Arthur.

Après ils vont dans la chambre du petit et voient Arthur avec un couteau dans la main pour tuer le fils de Mme Fiorletta, Maxime prend le couteau et met les menottes à Arthur.

Maxime les amène au commissariat.

Meurtre dans l’ascenseur par Blanche

Bonjour, je m’appelle Juliane.

Je vais vous raconter ce qu’il s’est passé dans l’ascenseur de mon immeuble avant-hier. Je cherche encore le criminel.

Avant-hier, j’ai vu le cadavre de madame Duboulon la voisine du troisième étage. Elle a été assassinée au couteau et pourtant cinq minutes avant, elle était encore vivante, je l’avais croisée dans l’escalier. La première chose que j’ai faite quand je l’ai vue c’est d’appeler la police.

« Allo je suis dans l’immeuble 56 rue Belleville dans la ville d’Orange en France, j’ai trouvé le cadavre de ma voisine.»

Au même moment une ombre traversa l’immeuble. Je suis sortie de l’immeuble…

Zut j’ai glissé, quand je me suis relevée il avait disparu. Oh!! Il avait perdu ses clefs.

J’ai couru chez le serrurier ! Quand je suis arrivée dans son magasin je lui ai demandé :

« Bonjour, savez-vous à qui appartiennent ces clés ?

– Oui! Il habite 7 rue de la hache. Me répond-t-il.

– Merci ! »

J’ai couru au 7 rue de la hache et en arrivant je frappai à la première porte :

« Bonjour est-ce-que ces clés sont à vous?

– Non mais elles appartiennent au muet du deuxième étage.  »

Zut ! Il est muet comment lui faire avouer tout ce qu’il a fait. Bon il fallait aller au commissariat pour tout dire.

Arrivée au commissariat, j’ai tout dit à un policier et nous sommes allés à la maison du muet pour l’arrêter. Nous avons toqué à sa maison et nous lui avons dit.

«Écris tout ce que tu as fait et tu auras 3 mois de prison. »

Il avait écrit :

J’ai tué madame Duboulon, monsieur Larouce, Marc, Julie et Océane !

Mais j’ai d’autres projets comme faire sauter un immeuble dont la mairie.

Maintenant il est sous les barreaux, il ne pourra plus faire sauter la mairie.

Blanche

Ma sœur jumelle a été assassinée par Juliette

Cher journal, la pire histoire que j’ai vécue se passe le jour de mon anniversaire.
Tout a commencé quand notre mère nous a dit, à ma sœur et moi:
« Allez-vous préparer, le gâteau est bientôt prêt. »
On voulait absolument goûter le gâteau, donc on est montées. Moi j’allais aux toilettes, et ma sœur va dans la chambre.
Et tout à coup :
« AAAH ! »
C’était un cri venant de ma chambre.
Par la fenêtre, il y a un homme avec un chapeau noir, une veste noire et un couteau plein de sang dans la main. J’ai trouvé du sang qui dépasse de la porte. J’ouvre la porte
«  AAAH ! » ce n’est pas possible je dois rêver ! Mais non ce n’est pas un rêve : j’ai trouvé ma sœur morte ! A ce moment-là, je ne savais pas quoi dire, en tous cas je voulais découvrir qui a fait ça. Je me suis rendue chez l’inspecteur Maxime, c’est lui qui a résolu tous les problèmes de Marseille. Et c’est là qu’il m’a demandé :
« Bonjour, que voulez-vous ?
– Il y a eu un meurtre, je sais que ceci est difficile à croire mais ma sœur est morte. Vous savez quoi faire ?
– Bien sûr, mais il faut juste que je parte mettre mon manteau, et zou !»

C’était la première fois que je montais dans une voiture de police ! Pendant-ce main, c’est une hache temps-là, je vois l’homme d’hier soir. Mais là, il n’avait pas un couteau dans la!
Et là le feu vert s’allume, « AAAAAAH !  IL NOUS ATTAQUE !» Je prends le pistolet, le chapeau de police et je lui dis :
« Pose ta hache et les mains en l’air ou sinon je tire ! »
Il lâche sa hache, et met les mains en l’air.
« Et à présent les menottes, zou en prison !
-On a réussi à démasquer l’assassin, c’était le jardinier qui nous en voulait mais on ne savait pas pourquoi, ça restera toujours un mystère entre nous. »
Dimanche, on est allé à l’enterrement de ma sœur. Tellement on était triste, on est resté jusqu’à 20h! Puis on est rentré à la maison, tristes et pales.

Drôle de cadeau! Par Agatha

Je m’appelle Edgar, et ça m’étonne que Louise, une fille de l’école, n’y vienne plus. La dernière fois que je l’ai vue, c’était avant les vacances de Noël. Je décide d’aller chez elle en sortant de l’école. Je vais donc chez elle, ses parents m’ouvrent. Je dis:

« Savez-vous où est Louise ?

-Non. Vous le savez, vous ?

-Non. Elle a disparu ?

-On ne le sait pas. En fait, depuis la nuit de Noël, on ne l’a plus vue. Je suis allée la réveiller, et elle n’était plus dans son lit. En plus, on a retrouvé un paquet ouvert. Il n’y avait rien dedans.

-Ok, je peux entrer et aller sous le sapin pour regarder s’il n’y a rien de suspect ?

-D’accord, entre. »

Je suis donc entré dans la maison de Louise, précisément sous le sapin. Les parents de Louise avaient vu juste car il y a bien un paquet ouvert. Il y a aussi une écharpe par terre, soit elle appartient à un des copains de mon père, soit elle appartient à mon grand cousin qui est fou. Le papier cadeau est grand, un homme peut rentrer dedans. Il fait la taille de mon grand cousin, et si un homme peut rentrer dedans, c’est bien lui. Pour le vérifier, je vais donc chez lui. Il m’ouvre, et, sur le canapé de sa maison, je vois Louise, en train de faire un bracelet. Il m’explique :

«Comme c’est l’anniversaire de ma maman, je ne sais pas quoi lui offrir, alors je me suis rappelé que tu m’avais dit, une fois, qu’une petite fille de ta classe, était super forte pour faire des bracelets. Alors, comme tu m’avais aussi dit son adresse, pendant la nuit de Noël je suis allé chez elle. Là-bas, j’ai pris du papier cadeau, j’en ai mis sur moi, et quand Louise, je crois bien qu’elle s’appelle comme ça, est sortie de sa chambre, vers minuit, pour découvrir ses cadeaux avant tout le monde, j’ai surgi, je l’ai prise sous mon bras, et je suis sorti de la maison.

-Tu vas la garder longtemps ?

-Oui. Enfin, le temps qu’elle finisse le bracelet.

-Au fait, j’ai trouvé ton écharpe sous le sapin.

-Ah, merci, je l’avais perdue.

Comme Louise avait fini le bracelet pendant que nous discutions, je la ramène chez elle. Ses parents ont été très contents de la retrouver. Ils m’offrent même un verre d’eau. Ils me posent plein de questions sur leur fille. Je leur dis où je l’ai trouvée, pourquoi on l’a enlevée.

Qui a tué Frank? par Rayan

Frank est le gardien du cimetière et Martin est son meilleur copain.

Un matin vers 11h, il y a eu une bagarre entre les deux meilleurs copains. Frank et Martin se sont bagarrés.

Frank retourne chez lui pour se reposer mais il entend un drôle de bruit.

Il sort pour vérifier. Il voit la porte d’une tombe ouverte.

Il rentre dans la tombe et il voit quelqu’un. Cet homme l’assassine et l’accroche à la croix.

L’ambulance et la police arrivent.

Le policier Yanis se demande qui a assassiné Frank et pourquoi. Il va chez le voisin de Frank, Martin.

Il le voit partir en courant alors il le poursuit.

Yanis attrape Martin.

Il l’emmène en prison.

Martin explique ce qu’il s’est passé, qu’ils se sont bagarrés et qu’il a voulu se venger.

Il est condamné à 6 ans de prison.

Meurtre au casino par Nils Colson

Hier soir au casino, Jean-Luc, un policier, a gagné 100 000 000 euros.

Le lendemain matin, on retrouve son cadavre dans les toilettes du casino, vidé de son sang.

La sécurité appelle sa femme qui vient en pleurant. Ils regardent les vidéos des caméras de surveillance sur la table de la victime. Il y a cinq suspects : Hippolyte, Malo, Arthur, Anne-Marie et Peyo. C’était ses amis.

L’inspecteur va interroger les suspects. Dans la librairie, l’inspecteur interroge Hippolyte. Hippolyte dit :

« J’étais avec lui toute la nuit sauf quand il est allé aux toilettes. »

Après, l’inspecteur va chez Malo et le trouve mort.

Il va au concert de punk. Il voit Arthur a une place il interroge Arthur qui dit: « je suis sorti du casino en même temps quand il allait aux toilette. »

L’inspecteur va voir Anne-Marie, Annie dit: « je suis allé aux toilettes des filles. »

L’inspecteur va voir Peyo.

Peyo dit:

« Je suis allé aux toilettes en même temps que lui

– c’est notre homme

– mais ce n’est pas moi

– ils disent tout le temps ça. »

Mais deux jours après Arthur est assassiné, vidé de son sang comme Jean-Luc.

L’inspecteur va sur le lieu du crime.

L’inspecteur regarde le corps sur le cou il y a des canines en aciers avec des réservoirs remplis de sang, l’inspecteur va faire des analyses des canines.

Deux jours après il a les résultats des canines c’est Anne-Marie.

Nous libérons Peyo mais nous mettons Anne-Marie en prison.

La marque rouge par Vadim

Voici comment mon histoire commence. Le 25 septembre 1947, trois meurtres ont été commis. Bref ! Le détective Charles se rend à son bureau et puis tout à coup Jackson, son coéquipier, lui tombe dessus.
« Mince ! Excusez-moi Mr. Charles, rien de cassé ?   dit Jackson.
-Non c’est bon mais qu’est-ce qui vous a pris tout à coup ? dit Charles.
-Eh bien, je courais pour vous donner cette lettre.
-Qui vous a donné cette lettre, Jackson ?
-Le commissaire, monsieur.
-Continuez Jackson, ça m’intéresse.
-Le commissaire a un problème.
-D’accord, alors on y va  répondit Charles. »
Arrivé au commissariat un surveillant leur demande leurs papiers.

Sur la carte de Charles il était écrit :
Prénom : Charles
Nom de famille : Polar
Travail : détective privé
Spécialité : être toujours prêt
Date de naissance : 1916/01/01
Age : 31 ans

Et sur celle de Jackson il était écrit :
Prénom : Jackson
Nom de famille : Polar
Travail : étudiant (détective privé)
Spécialité : fouineur
Date de naissance : 1930/02/04
Age : 17 ans

1 heure après, le détective Charles, et Jackson sont avec le commissaire.
« Alors quel est le problème commissaire ? Dit Charles.
– Votre mission est de retrouver les criminels qui ont tué ces trois personnes elles sont toutes riches.
– Nous ne les avons pas encore examinées.
-Bon nous acceptons la mission. Hein Jackson ?
-Oui monsieur.
-Merci détective Charles d’être venu. »
Et c’est là que l’enquête commence.
Le premier jour de l’enquête le détective Charles et son coéquipier Jackson vont dans la salle du crime. Ils commencent à fouiller la salle.
« Regarde Jackson une marque rouge sur le torse c’est bizarre.
-La couleur rouge, pourquoi pas bleu ou vert ? Regarde Charles il a été brulé.
-Attends ! Rouge plus le feu égal marque rouge.Vadim 1
-Les personnes qui ont tué François La Chaise sont dans une secte : la secte des éléments. La marque rouge est leur signe.
-Bon allons voir la 2ème victime.
-Regarde la même marque.
-Il a été noyé.
-Quelle fin atroce.
-Je suppose que la 3ème victime a été étouffée par de la terre.
-Pas vraiment, la victime a un sac de terre entier sur la tête.
-Bon nous avons tout ce qu’il nous faut.
-Rentrons au bureau.
-Regardez, le bureau est ravagé.
-Il y a des traces de pas.
-Suivons-les.
-D’accord. »
1 heure après.
« Regarde des personnes qui ont le signe de la marque rouge sur la main.
-arrêtons-les. »
Charles et Jackson passent à l’attaque, Jackson assomme les deux individus. 1 heure après les individus sont en prison.
-Voilà c’est fini Jackson encore une enquête résolue.

La balle piratée par Paul

29 Juin 2009, jour de la mort de Tommy en plein match de base-ball prenant la balle dans la tête.
Moi le détective Trouffignon et mon adjoint sommes sur l’affaire ainsi que l’ambulance.
« Bon, tout d’abord, il faut observer la balle, dit le détective Trouffignon.
-Oh ! fit Trouffignon.
-Qu’y a-t’il ? dit l’adjoint du détective.
-La balle a une puce électronique sur elle ! répondit le détective.
-C’est un crime, c’est un crime ! cria Trouffignon.
-Mais gardons notre sang froid et rentrons au bureau chercher des suspects.»
Trois jours plus tard, nous avons eu 5 suspects : Nis Tréviolant, Momo Dubled, Henriette Violai, Henri Du Latex, Jean -Yanis Durobignole.
Nous avons organisé des interrogatoires.
M. Tréviolant est professionnel en construction de drone.
Pendant le match, Momo Dubled avait juste un jouet « Picsou » dans ses mains. Nous avions cru que c’était une télécommande de drone.
Mme Violai, elle, voulait absolument se venger du père de Tommy.
Elle est donc très importante dans cette histoire de meurtre.
Henri Du Latex et Jean-Yanis Durobignole sont d’anciens criminels échappés de prison. (Nous les avons remis en prison bien sûr.)
Après avoir très très très très très longtemps cherché des infos sur tous les suspects, nous avons trouvé que M. Tréviolant était un ancien hacker professionnel.
Les autres suspects n’avaient rien à voir là-dedans.
Nous avons questionné M.Tréviolant pendant très longtemps.
M. Tréviolant avoua ensuite avoir mis la puce sur la balle et conduit la balle dans la tempe de l’enfant.
« Mais pourquoi sur cet enfant ? interpella Trouffignon.
-Avant d’être un hacker, le père de Tommy était mon patron et un jour il m’a viré, avoua M.Tréviolant. »
Je sais c’est un peu bête comme vengeance, mais au moins ce criminel est en prison.

La balle piratée par Paul

29 Juin 2009, jour de la mort de Tommy en plein match de base-ball prenant la balle dans la tête.
Moi le détective Trouffignon et mon adjoint sommes sur l’affaire ainsi que l’ambulance.
« Bon, tout d’abord, il faut observer la balle, dit le détective Trouffignon.
-Oh ! fit Trouffignon.
-Qu’y a-t’il ? dit l’adjoint du détective.
-La balle a une puce électronique sur elle ! répondit le détective.
-C’est un crime, c’est un crime ! cria Trouffignon.
-Mais gardons notre sang froid et rentrons au bureau chercher des suspects.»
Trois jours plus tard, nous avons eu 5 suspects : Nis Tréviolant, Momo Dubled, Henriette Violai, Henri Du Latex, Jean -Yanis Durobignole.
Nous avons organisé des interrogatoires.
M. Tréviolant est professionnel en construction de drone.
Pendant le match, Momo Dubled avait juste un jouet « Picsou » dans ses mains. Nous avions cru que c’était une télécommande de drone.
Mme Violai, elle, voulait absolument se venger du père de Tommy.
Elle est donc très importante dans cette histoire de meurtre.
Henri Du Latex et Jean-Yanis Durobignole sont d’anciens criminels échappés de prison. (Nous les avons remis en prison bien sûr.)
Après avoir très très très très très longtemps cherché des infos sur tous les suspects, nous avons trouvé que M. Tréviolant était un ancien hacker professionnel.
Les autres suspects n’avaient rien à voir là-dedans.
Nous avons questionné M.Tréviolant pendant très longtemps.
M. Tréviolant avoua ensuite avoir mis la puce sur la balle et conduit la balle dans la tempe de l’enfant.
« Mais pourquoi sur cet enfant ? interpella Trouffignon.
-Avant d’être un hacker, le père de Tommy était mon patron et un jour il m’a viré, avoua M.Tréviolant. »
Je sais c’est un peu bête comme vengeance, mais au moins ce criminel est en prison.

Un cadavre pour mon anniversaire par Carla

Bonjour,
Je m’appelle Camille, je vais avoir 11 ans et je suis en CM2 dans l’école Luis Pradel de Lyon. Je vis avec ma mère, Virginie, et mon grand frère, Grégoire ; nous habitons à la croix rousse dans une ruelle isolée et notre petit immeuble n’est pas mieux : la façade est trop vieille mais le propriétaire n’est pas prêt à dépenser de l’argent pour nous ; déjà qu’il nous fait un prix sur le loyer car ma mère ne réussit pas à payer les impôts et les taxes. Papa est parti quand j’avais 1 an et depuis, il n’est plus jamais revenu.
Enfin bref, aujourd’hui c’est mon anniversaire et maman a invité toute la famille, même les cousins éloignés, les grandes tantes… Pas besoin de vous dire qu’on sera une trentaine ! A ma grande déception mon père n’est pas invité. Mais là, à 9h23 du matin: je suis à moitié endormie sur mon bol de céréales au chocolat. Tout à coup, je sursaute quand maman m’annonce :
-Dépêche-toi les invités arrivent dans une heure et demie.
-Quoi ?! Une heure et demie ! Mais j’ai encore à me préparer, ranger ma chambre etc…
-Si tu es sage tu auras une surprise quand les invités partiront !
J’ai tellement envie de connaitre la surprise que me réserve maman ! Car quand elle me fait une surprise c’est une vraie, par exemple : l’année dernière maman m’a préparé un anniversaire-surprise dans mon restaurant préféré ! J’avais adoré !
Je vais m’habiller pour être assez présentable si quelqu’un arrive. Aujourd’hui, j’ai décidé de mettre ma plus belle robe que ma tante Gislaine m’a offerte. J’entends Grégoire et maman se disputer. Je décide de ne pas descendre pour écouter la conversation.
– Maman, tu sais très bien que papa rêve de nous garder ! Mais c’est toi qui n’as jamais voulu !
Mon frère n’arrête pas de se plaindre en ce moment ! Il veut que papa ait notre garde. Il n’a jamais voulu le revoir et là depuis une semaine il n’arrête pas ! J’entends ma mère se défendre d’un ton qu’elle n’avait jamais employé :
« Tais-toi ! Tu ne penses qu’à ton père ! Il nous a abandonné et moi j’ai toujours été présente ! »
Je décide d’intervenir à ce moment-là. Quand j’arrive, ils se taisent.
« -Bonjour ma chérie, tu veux bien acheter du pain s’il te plaît ?
-Oui bien sûr maman ! »
J’ai répondu sans réfléchir car dans ces moments-là on veut juste que tout s’arrête. Je claque la porte derrière moi pour leur montrer comme j’étais énervée. J’en avais les larmes aux yeux. Quand tout à coup, la gardienne surgit du local à poubelle. Je ne l’aime pas, elle a au moins 60 ans ! Et à chaque fois elle me taquine.
« -Bonjour ma belle ! Ho ! Que t’est-il arrivé ?
-Rien, rien.
– Bah ! T’es pas bien gai toi ! »
Une fois rentrée, les invités commencent à arriver. Je jette un coup d’œil de temps en temps à mon frère. Je ne lui fais plus trop confiance depuis tout à l’heure.
Le temps passe et il est l’heure que ma famille s’en aille. Quand tout le monde est parti, il faut que j’ouvre mes cadeaux !
Le premier est une lampe de bureau ; le deuxième est une peluche rigolote …
Quand mon frère me coupe :
« HAAAAAAAA ! Camille dépêche-toi, y’a maman morte dans ton lit !
-Ha ha ha ! Très drôle ! »
Comment je peux croire une chose pareille !
Finalement, je vais quand même voir dans ma chambre car je n’ai pas entendu maman depuis que les invités sont partis.
Et là horrible : je vois ma mère morte ; oui, bien morte ! Et pour couronner le tout : dans mon lit !
Je sens des larmes couler sur mes joues. C’est le jour le plus horrible de ma vie !
J’ai envie de retrouver le meurtrier et j’irai jusqu’au bout !
La personne qui a tué ma mère est forcément de ma famille. Donc, il faut que j’interroge les personnes une à une.
Avec le téléphone de Grégoire je commence par appeler ma tante Maryline car c’est la personne dont je suis la plus proche.
« Oui allô tata, ça va ?…..moi, ça va, est-ce que tu pourrais venir manger ce soir…..ok, à toute à l’heure. »
Ça c’est fait ! Maintenant, il faut que j’appelle papa pour lui annoncer la mauvaise nouvelle. Bizarrement je trouve le numéro de papa sur le téléphone de Grégoire. Et dans les anciens appels Papa s’affiche plusieurs fois. Enfin bon, je l’appelle et je vais faire comme si je ne savais rien.
C’est la première fois que j’appelle papa depuis l’anniversaire de mes cinq ans. J’ai les mains qui tremblent mais par chance je tombe sur le répondeur. Je lui explique juste que maman est morte sans rentrer dans les détails.
Soudain, on sonne à la porte.
J’ouvre. C’est Maryline !
« Bonjour ma chérie ! Je peux voir ta maman ?
-Heu on va commencer par dîner !
-Qu’est-ce que tu me caches ma poulette ?
-Pfff, maman est morte ! »
Pendant le dîner il n’y a pas eu un seul mot. Grégoire va aux toilettes, j’ai juste le temps de l’interroger.
« As-tu une idée de qui a fait ça ?
-Il faut être très discret pour faire ça et je ne suis pas aussi discrète. Mais par contre je pense que Grégoire peut le faire.
-Pourquoi tu dis ça ?
-Vu qu’il habite ici ça peut-être plus discret.
-Mais ouiiiii ! Merci tata ! »
Le lendemain matin, au petit déjeuner, j’interroge mon frère :
« As-tu une idée de qui a tué maman ?
– Pfff, j’en sais rien ! Je m’en fous !
-Quoi ?! Non mais j’hallucine maman est morte et toi tu t’en fous ! Non mais c’est bon quoi ! »
Je suis très énervée ; je sors de la maison et j’achète des fleurs en réfléchissant au meurtrier. À mon avis c’est Grégoire qui l’a tuée. C’est vrai que Maryline a raison !
Je vais trouver des preuves ! J’en suis sûre !
Je rentre à la maison sans faire de bruit, j’entends Grégoire téléphoner :
« Ok… Oui je viendrais te chercher à l’aéroport ! … A demain ! »
A qui pouvait-il bien téléphoner ? Qui viendra à l’aéroport ? Toutes ces questions sans réponses !
« Qu’est-ce que tu fais avec ces fleurs ?!
– Rien ! Lâche-moi !
– Pourquoi es-tu énervée ?
– A ton avis ?! A qui tu téléphonais ?
– A papa, il vient demain. »

J’en ai marre ! Il le fait exprès !
Le lendemain à l’école :
« C’était trop bien hier ! Je suis allé au travail de mon père ! A dit Joakim.
– Il fait quoi comme travail ? lui a demandé Alice.
– Il est policier, comme dans les films !
– Comment il s’appelle ? Lui ai-je demandé.
– Sylvain Lambert.
– Tu pourrais m’y emmener ?
– Oui demain je dois y retourner !
– Merci ! »
Le lendemain, je vais au commissariat et en croisant son père je lui annonce :
« M. Lambert, j’ai quelque chose à vous dire : ma mère est morte dans mon lit.
– Tu attends de moi que je mène l’enquête ?
– Oui s’il vous plaît !
– Très bien allons-y ! Je n’ai rien à faire il n’y a pas de travail en ce moment ! Mais d’abord, raconte-moi tout ! »
Une fois l’histoire racontée, Il est venu chez moi avec Joakim qui essaye d’apprendre ce métier. Quand on rentre il n’y a pas Grégoire, il est sûrement allé chercher papa. M. Lambert trouve dans la cuisine, un couteau avec des empreintes visibles et des petites taches de sang. Il examine ma mère pendant un moment, fait des tas d’analyses. Puis m’annonce :
« Il faut attendre le retour de ton frère. »
Et à ce moment-là le bruit de la serrure se fait entendre.
Justement, il arrive ! Et pas seul !
«  Jeune homme, venez s’il vous plaît. »
Grégoire approche et le commissaire lui tend une machine où il doit mettre son doigt pour les empreintes digitales. Mon frère est emmené au commissariat. Puis, il est auditionné par le commissaire. Pendant ce temps, je discute avec papa pour faire connaissance. Quand je vois M. Lambert arriver vers moi tête baissée, je comprends tout de suite que mon frère est probablement le coupable. M. Lambert m’annonce :
« On connaît la raison de ce crime : ton frère a poignardé votre mère afin que votre père puisse vous garder. »
Je regarde papa d’un air bizarre, je ne sais pas si je dois lui faire confiance ou non. Puis il me dit d’une voix tremblante :
« Tu as le droit de m’en vouloir autant que tu veux mais sache que j’étais et je suis toujours contre.
– Je ne t’en veux pas à toi, j’en veux à Grégoire ! Comment a-t-il pu faire une chose pareille ?! »
Quelques jours plus tard, à l’enterrement :
« Je suis désolé ! me confie Grégoire.
– Comment as-tu pu ?
-Je voulais revoir papa, la seule façon de le revoir et qu’il puisse nous élever était de tuer maman. Sur les pages jaunes j’ai pu avoir son numéro de téléphone. Je lui en ai parlé mais il était contre. Le seul moment que j’ai trouvé était à ton anniversaire. Quand je me suis rendu compte de ce que j’avais fait, j’ai voulu te faire croire que ce n’était pas moi, en découvrant le crime. Mais tu es bien trop maligne pour ça. PARDON MAMAN ! »
Je vois une larme couler sur sa joue, puis deux, puis trois… Regrettait-il ce crime?

Un cadavre pour mon anniversaire par Carla

Bonjour,
Je m’appelle Camille, je vais avoir 11 ans et je suis en CM2 dans l’école Luis Pradel de Lyon. Je vis avec ma mère, Virginie, et mon grand frère, Grégoire ; nous habitons à la croix rousse dans une ruelle isolée et notre petit immeuble n’est pas mieux : la façade est trop vieille mais le propriétaire n’est pas prêt à dépenser de l’argent pour nous ; déjà qu’il nous fait un prix sur le loyer car ma mère ne réussit pas à payer les impôts et les taxes. Papa est parti quand j’avais 1 an et depuis, il n’est plus jamais revenu.
Enfin bref, aujourd’hui c’est mon anniversaire et maman a invité toute la famille, même les cousins éloignés, les grandes tantes… Pas besoin de vous dire qu’on sera une trentaine ! A ma grande déception mon père n’est pas invité. Mais là, à 9h23 du matin: je suis à moitié endormie sur mon bol de céréales au chocolat. Tout à coup, je sursaute quand maman m’annonce :
-Dépêche-toi les invités arrivent dans une heure et demie.
-Quoi ?! Une heure et demie ! Mais j’ai encore à me préparer, ranger ma chambre etc…
-Si tu es sage tu auras une surprise quand les invités partiront !
J’ai tellement envie de connaitre la surprise que me réserve maman ! Car quand elle me fait une surprise c’est une vraie, par exemple : l’année dernière maman m’a préparé un anniversaire-surprise dans mon restaurant préféré ! J’avais adoré !
Je vais m’habiller pour être assez présentable si quelqu’un arrive. Aujourd’hui, j’ai décidé de mettre ma plus belle robe que ma tante Gislaine m’a offerte. J’entends Grégoire et maman se disputer. Je décide de ne pas descendre pour écouter la conversation.
– Maman, tu sais très bien que papa rêve de nous garder ! Mais c’est toi qui n’as jamais voulu !
Mon frère n’arrête pas de se plaindre en ce moment ! Il veut que papa ait notre garde. Il n’a jamais voulu le revoir et là depuis une semaine il n’arrête pas ! J’entends ma mère se défendre d’un ton qu’elle n’avait jamais employé :
« Tais-toi ! Tu ne penses qu’à ton père ! Il nous a abandonné et moi j’ai toujours été présente ! »
Je décide d’intervenir à ce moment-là. Quand j’arrive, ils se taisent.
« -Bonjour ma chérie, tu veux bien acheter du pain s’il te plaît ?
-Oui bien sûr maman ! »
J’ai répondu sans réfléchir car dans ces moments-là on veut juste que tout s’arrête. Je claque la porte derrière moi pour leur montrer comme j’étais énervée. J’en avais les larmes aux yeux. Quand tout à coup, la gardienne surgit du local à poubelle. Je ne l’aime pas, elle a au moins 60 ans ! Et à chaque fois elle me taquine.
« -Bonjour ma belle ! Ho ! Que t’est-il arrivé ?
-Rien, rien.
– Bah ! T’es pas bien gai toi ! »
Une fois rentrée, les invités commencent à arriver. Je jette un coup d’œil de temps en temps à mon frère. Je ne lui fais plus trop confiance depuis tout à l’heure.
Le temps passe et il est l’heure que ma famille s’en aille. Quand tout le monde est parti, il faut que j’ouvre mes cadeaux !
Le premier est une lampe de bureau ; le deuxième est une peluche rigolote …
Quand mon frère me coupe :
« HAAAAAAAA ! Camille dépêche-toi, y’a maman morte dans ton lit !
-Ha ha ha ! Très drôle ! »
Comment je peux croire une chose pareille !
Finalement, je vais quand même voir dans ma chambre car je n’ai pas entendu maman depuis que les invités sont partis.
Et là horrible : je vois ma mère morte ; oui, bien morte ! Et pour couronner le tout : dans mon lit !
Je sens des larmes couler sur mes joues. C’est le jour le plus horrible de ma vie !
J’ai envie de retrouver le meurtrier et j’irai jusqu’au bout !
La personne qui a tué ma mère est forcément de ma famille. Donc, il faut que j’interroge les personnes une à une.
Avec le téléphone de Grégoire je commence par appeler ma tante Maryline car c’est la personne dont je suis la plus proche.
« Oui allô tata, ça va ?…..moi, ça va, est-ce que tu pourrais venir manger ce soir…..ok, à toute à l’heure. »
Ça c’est fait ! Maintenant, il faut que j’appelle papa pour lui annoncer la mauvaise nouvelle. Bizarrement je trouve le numéro de papa sur le téléphone de Grégoire. Et dans les anciens appels Papa s’affiche plusieurs fois. Enfin bon, je l’appelle et je vais faire comme si je ne savais rien.
C’est la première fois que j’appelle papa depuis l’anniversaire de mes cinq ans. J’ai les mains qui tremblent mais par chance je tombe sur le répondeur. Je lui explique juste que maman est morte sans rentrer dans les détails.
Soudain, on sonne à la porte.
J’ouvre. C’est Maryline !
« Bonjour ma chérie ! Je peux voir ta maman ?
-Heu on va commencer par dîner !
-Qu’est-ce que tu me caches ma poulette ?
-Pfff, maman est morte ! »
Pendant le dîner il n’y a pas eu un seul mot. Grégoire va aux toilettes, j’ai juste le temps de l’interroger.
« As-tu une idée de qui a fait ça ?
-Il faut être très discret pour faire ça et je ne suis pas aussi discrète. Mais par contre je pense que Grégoire peut le faire.
-Pourquoi tu dis ça ?
-Vu qu’il habite ici ça peut-être plus discret.
-Mais ouiiiii ! Merci tata ! »
Le lendemain matin, au petit déjeuner, j’interroge mon frère :
« As-tu une idée de qui a tué maman ?
– Pfff, j’en sais rien ! Je m’en fous !
-Quoi ?! Non mais j’hallucine maman est morte et toi tu t’en fous ! Non mais c’est bon quoi ! »
Je suis très énervée ; je sors de la maison et j’achète des fleurs en réfléchissant au meurtrier. À mon avis c’est Grégoire qui l’a tuée. C’est vrai que Maryline a raison !
Je vais trouver des preuves ! J’en suis sûre !
Je rentre à la maison sans faire de bruit, j’entends Grégoire téléphoner :
« Ok… Oui je viendrais te chercher à l’aéroport ! … A demain ! »
A qui pouvait-il bien téléphoner ? Qui viendra à l’aéroport ? Toutes ces questions sans réponses !
« Qu’est-ce que tu fais avec ces fleurs ?!
– Rien ! Lâche-moi !
– Pourquoi es-tu énervée ?
– A ton avis ?! A qui tu téléphonais ?
– A papa, il vient demain. »

J’en ai marre ! Il le fait exprès !
Le lendemain à l’école :
« C’était trop bien hier ! Je suis allé au travail de mon père ! A dit Joakim.
– Il fait quoi comme travail ? lui a demandé Alice.
– Il est policier, comme dans les films !
– Comment il s’appelle ? Lui ai-je demandé.
– Sylvain Lambert.
– Tu pourrais m’y emmener ?
– Oui demain je dois y retourner !
– Merci ! »
Le lendemain, je vais au commissariat et en croisant son père je lui annonce :
« M. Lambert, j’ai quelque chose à vous dire : ma mère est morte dans mon lit.
– Tu attends de moi que je mène l’enquête ?
– Oui s’il vous plaît !
– Très bien allons-y ! Je n’ai rien à faire il n’y a pas de travail en ce moment ! Mais d’abord, raconte-moi tout ! »
Une fois l’histoire racontée, Il est venu chez moi avec Joakim qui essaye d’apprendre ce métier. Quand on rentre il n’y a pas Grégoire, il est sûrement allé chercher papa. M. Lambert trouve dans la cuisine, un couteau avec des empreintes visibles et des petites taches de sang. Il examine ma mère pendant un moment, fait des tas d’analyses. Puis m’annonce :
« Il faut attendre le retour de ton frère. »
Et à ce moment-là le bruit de la serrure se fait entendre.
Justement, il arrive ! Et pas seul !
«  Jeune homme, venez s’il vous plaît. »
Grégoire approche et le commissaire lui tend une machine où il doit mettre son doigt pour les empreintes digitales. Mon frère est emmené au commissariat. Puis, il est auditionné par le commissaire. Pendant ce temps, je discute avec papa pour faire connaissance. Quand je vois M. Lambert arriver vers moi tête baissée, je comprends tout de suite que mon frère est probablement le coupable. M. Lambert m’annonce :
« On connaît la raison de ce crime : ton frère a poignardé votre mère afin que votre père puisse vous garder. »
Je regarde papa d’un air bizarre, je ne sais pas si je dois lui faire confiance ou non. Puis il me dit d’une voix tremblante :
« Tu as le droit de m’en vouloir autant que tu veux mais sache que j’étais et je suis toujours contre.
– Je ne t’en veux pas à toi, j’en veux à Grégoire ! Comment a-t-il pu faire une chose pareille ?! »
Quelques jours plus tard, à l’enterrement :
« Je suis désolé ! me confie Grégoire.
– Comment as-tu pu ?
-Je voulais revoir papa, la seule façon de le revoir et qu’il puisse nous élever était de tuer maman. Sur les pages jaunes j’ai pu avoir son numéro de téléphone. Je lui en ai parlé mais il était contre. Le seul moment que j’ai trouvé était à ton anniversaire. Quand je me suis rendu compte de ce que j’avais fait, j’ai voulu te faire croire que ce n’était pas moi, en découvrant le crime. Mais tu es bien trop maligne pour ça. PARDON MAMAN ! »
Je vois une larme couler sur sa joue, puis deux, puis trois… Regrettait-il ce crime?

Crime dans la chambre forte par Malo

Un matin à NYC le gardien de jour James découvre son ami, le gardien de nuit, Jean-Philippe mort et tout l’or de la banque a disparu. Il est horrifié il prévient les policiers puis sa femme et ses enfants.
Des policiers interrogent des gens pendant que je discute avec le commissaire :
« Avez-vous remarqué quelque chose d’anormal ce matin ?
-non
-Il y a eu beaucoup de vols et de meurtres ?
-Non parce que la banque est très bien gardée.
-d’accord. »
Le lendemain dans la soirée Boris Du Bois vient remplacer Jean-Philippe. Il est très content car il voulait ce poste depuis des années.
Il y a des policiers, sur le lieu du crime pour qu’ils analysent les empreintes digitales. Boris est timide de travailler avec les policiers. Un policier lui dit :
-Etes-vous dans ce métier depuis longtemps?
-Non
-Alors que faites-vous là?
-Je suis le remplaçant.
-D’accord, connaissez-vous la victime ?
-Non
-Et connaissez-vous un de ses proches ?
-Oui
-Qui est-ce ?
-Le gardien de jour
-Savez-vous où il est ?
-Non mais je sais quand il travaille.
-Quand ?
-Demain.
-A quelle heure ?
-Toute la journée
-D’accord merci. Ah au fait je m’appelle Yves
-De rien moi c’est Boris du Bois
-Au revoir Boris
-Au revoir Yves

-Regarde ça Yves une balle de 0,50 cm en plus c’est du petit calibre ça coûte une blinde
-regarde la marque nous irons demander au vendeur à qui il l’a vendue
-Bonne idée
2 heures plus tard les policiers sont en train de fouiller la maison de Boris.
– nous n’avons trouvé qu’un pistolet à pchiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii oh pardon colonel
-Faites attention à vos gestes soldat !
-Allons fouiller la cave. Dit l’un des policiers…

Dans la cave le pistolet est bel et bien là. 1 heure plus tard Boris les menottes au poignet, l’or récupéré
Les policiers médaillés, tout le monde est content sauf Boris qui est le punchingball de la prison.