résumé réalisé collectivement au début puis par groupe pour la suite.
Le jeudi 28 mai 2015, nous sommes partis de l’école à 8h35 puis nous avons pris le bus C14 pour nous rendre aux Subsistances.
Le bus était bondé, il y avait plusieurs classes. On était serrés comme des sardines.
On est descendus à l’arrêt « homme de la roche ».On a traversé ensuite la passerelle de l’homme de la roche qui bougeait. Certains ont eu peur.
Quand nous sommes arrivés dans la cour principale des Subsistances, nous nous sommes assis sur les marches pour boire un peu et attendre les auteurs.
On est entré dans la salle où il y avait une scène et en face des gradins. Des ouvreuses nous ont donné des masques des trois brigands. Nous nous sommes assis sur les gradins.
Les auteurs se sont présentés.
Claire Ubac a lu des histoires de rencontre.
Première rencontre :
Une enfant grandit chez tante Cobra, sa tante qui est très méchante. La tante lui a rasé tous les cheveux.
L’enfant trouve un foulard le met sur son crâne chauve et s’en va dans la forêt. Elle entend des bruits bizarres produits par un garçon de son âge.
Deuxième rencontre :
Lili a un copain, Bouddha, qui répare les ordinateurs de son école. Dans la file d’attente de la cantine, le portable de Bouddha sonne. Eloïse, la pire ennemie de Lili, rencontre Bouddha et c’est le coup de foudre.
Lecture de Marie-Aude Murail , résumée par Arthur, Hippolyte et Nils S.
Le livre que Marie-Aude Murail nous a lu racontait l’histoire d’un garçon pauvre qui s’appelait Philipe Piripe mais tout le monde l’appelait Pip. Il passait ses journées à se balader et allait voir les tombes de sa mère et de son père.
Mais un jour où il regardait son père et sa mère, il rencontra un évadé du bagne.
L’évadé avait un anneau de fer à la cheville.
Il prit Pip et le secoua, il lui dit:
« comment tu t’appelles ?
– Pip monsieur.
– Va me chercher une lime et des provisions. Si tu dis que tu m’as vu je connais un jeune homme qui mangera ton coeur. »
Pip alla chercher ce que qu’il lui avait demandé. Pip courut et vit l’évadé retourner dans les ronces.
Lectures d’Aurélien Loncke et Sophie Chérer, résumées par Paul, Nils et Vadim.
Aurélien Loncke a lu en exclusivité le premier chapitre de son nouveau livre: Gabin.
Gabin est un enfant voleur qui va sur des toits pour repérer des fenêtres ouvertes pour voler de la nourriture, des habits et pour résister au froid.
Sophie Chérer nous a parlé de l’étymologie. A l’origine le mot idiot veut dire unique et le mot école veut dire loisirs. Elle nous a aussi parlé d’un roman Russe pour adulte qui s’appelait l’Idiot de Dostoveïski.
Elle a lu une histoire ou la mère fumait. La fille disait à son père : « Est-ce que tu t’inquiètes pour maman qui fume ? »
Notre avis :
Nous avons aimé le concept de Gabin et l’explication des origines des mots idiot et école.
Nous avons aussi aimé quand un jour elle a dit : « bonjour maman ça pue ! » au lieu de dire : « bonjour maman ça va ? »
Nous avons enfin aimé quand son père disait : « bonjour vous avez fait caca ce matin ? ». Il disait ça parce qu’au Moyen Age on disait comment allez-vous pour savoir si on avait bien fait caca.
Pause de midi racontée par Carla, Galine, Lina et Lallie
A 11h30, à la fin des lectures, nous sommes descendus des gradins pour aller choisir des petits livres que nous avons écrits.
Puis nous avons quitté la salle avec nos livres.
Nous nous sommes installés dans un coin de la cour où il y avait cinq tables de pique-nique, les bancs n’arrêtaient pas de tomber.
Galine, Lallie, Ana, Irène et Aurore pique-niquaient par terre.
D’autres mangeaient sur des tables de pique-nique. Mme Delarive et M. Barth mangeaient sur un banc à coté. Quand la majorité des élèves ont terminé de manger, nous avons joué à 1.2.3. Soleil avec les enseignants. Dans les environs de 13h00, nous nous apprêtions à courir un relais, mais c’était l’heure de revenir dans la salle, pour présenter notre spectacle à Marie-Aude Murail.
Spectacles de l’après midi racontés par Sofiane, Nour El islam et Rayan
On est rentré sur scène en chantant un texte écrit sur l’air du générique de Vidocq. et nous nous sommes placés comme si nous allions faire un béret.
Ana et Paul, sont allés donner une enveloppe à Marie-Aude Murail.
À l’intérieur de cette enveloppe il y avait des numéros qui correspondaient à un groupe de deux ou de quatre personnes.
Ensuite Marie-Aude Murail par hasard a tiré le numéro1 : Meridjon et Nesrine.
Le dernier groupe etait Arthur et Agatha.
A la fin nous sommes sortis de la scène en chantant. Nous nous sommes assis et nous avons écouté les autres classes.
Spectacles des autres classes, résumés par Agatha, Blanche et Maxime
Les CE2 et CE1 de l’école Jean Zay ont présenté leur spectacle après nous.
Ils ont montré un spectacle sur le livre Souï-Manga .les CE1 ont fait des dessins. Après les avoir montrés à Marie-Aude Murail, ils se sont mis en ligne, ils ont levé leurs mains et ils ont chanté leur chanson Souï Manga.
Ils ont offert deux éléphants qui s’appelaient Billy et Junior.
Ensuite les CE2 sont passés et ils ont chanté leur chanson de rock sur Tristan.
Les élèves de Mme Sulmont de l’école Mazenod sont passés en troisième.
Chacun leur tour, par groupe, ils se sont allongés par terre en train de lire leurs livres pendant 10 secondes.
Après être passés, ils se sont mis en demi-cercle et ils ont retourné les livres. Sur les quatrièmes de couverture, il y avait une lettre. Ça faisait un message : « Bon voyage dans la littérature. »
En dernier l’école Antoine Rémond est passée et des groupes ont lu chacun à leur tour l’histoire qu’ils ont écrite.
Nous avons fait une pause pour aller aux toilettes et nous sommes rerentrés pour apprendre le refrain de la chanson de Tristan.
Après nous sommes allés dehors pour nous faire dédicacer nos petits livres.
Retour à l’école décrit par Iris, Audrey, Irène et Juliette
Nous sommes partis des Subsistances en chantant notre arrangement de Vidocq.
Nous espérions retraverser la passerelle (de l’Homme de la roche) mais comme par hasard nous avons tourné 10 mètres avant dans la rue pour monter « La montée de la Muette ».
Nous pensions que cette montée n’était que passagère.
Mais pas tout à fait on la surnomma « la montée de la mort ».
On montait, montait, montait, montait, montait et encore montait…Enfin arrivés en haut heureusement tous sains et saufs, tous les élèves disaient :
« Trop cool, de la descente, mais ça veut dire que nous sommes montés pour redescendre ! » 10 000 Siècles plus tard de marche sous le soleil brûlant, nous sommes arrivés à l’école !
Cette longue journée de marche et de rencontres m’a beaucoup plu.